L'angoisse de la grossesse (de Vincent) suite au second enlèvement m'a amenée à accélérer les choses.

J'ai profité de l'événement "soirée en ville"  pour que Solène fasse sa demande.

 

 

 

En pro du jardinage et des compositions florales qu'il est, Vincent lui a collé le râteau du siècle.

 

 

 

Scrogneuneu, ce qu'elle m'a fait mal au cœur. 

 

 

 

Question de timing !!

 

Des baffes oui, elles vont être pile-poil dans le timing les baffes !

 

 

 

 

Non mais regarde-la crétin des Alpes.

 

 

 

 

Donc l'aura bizarre qui va l'entourer durant quelques heures, c'est du jaune et ça veut dire "embarrassé".

Merci Vincent, on ne connaissait pas et on s'en serait bien passées.

 

 

 

Après le choc et le déni, voici : la colère.

J'aime mieux ça. Elle reprend du poil de la bête ma Solène.

 

 

 

 

 

Euh... tu t'attendais à quoi ?

 

 

 

 

Visiblement pas à se faire si vertement remonter les bretelles.

 

 

 

 

Donc il y a un stade au-dessus de "embarrassé". 

Mouairf, ça ne m'arrange pas, ce jaune ne lui va pas au teint.

 

 

 

Alors, Vincent est parti en courant et a fait le chemin à pied pendant que Solène le faisait en avion.

 

Il s'est excusé, contraint et forcé, parce que c'est quand même moi qui commande.

 

Câlins, bisous, excuses, bisous, draguer, demander en mariage...

 

Ben quoi, c'est lui qui demande. Elle fera ce qu'elle veut.

 

Et j'ai bien l'impression qu'elle veut toujours.

 

 

 

Mais à ses conditions : pas de mariage en douce.

Un vrai mariage avec des invités, des fleurs, des colombes qui s'envolent, des ballons blancs qui s'envolent, le budget qui s'envole...

 

Bon on fera ce qu'on pourra.

 

 

 

Oui, tu vas l'avoir ta fête ma belle.

Ne bouge pas, j'adore ce sourire vainqueur.

 

 

 

Pas de mariage sans film du mariage.

C'est parti !

 

 

 

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